Une Nouvelle Venue ... (Privé Eonelle & Aerandir)

Après avoir combattue l'Avatar d'Ockter pendant un rude combat Aerandir s'était téléporté dans le temple d'Yvaine, là sa dragonne était étendue.

° oO Maître ! Vous êtes sauf … Oo °

D'un ton sévère le magicien répondu.

" Oui, mais Ockter va réagir vite. Convoquer les élus dans mon bureau"

Il se dirigea vers l'appartement privé de sa nouvelle Elue. Il s'adressa à la dragonne anxieuse.

" Comment va elle ?"

Une voix claire résonna dans sa tête. Cela faisait bien 150 ans que cette dragonne lui parlait mentalement mais il ne s'était encore jamais habitué.

° oO Ce n'est juste qu'un petit coud mental, elle est sûrement déjà remit Oo °

Quand il arrivé dans la chambre. Sa jeune élue était encore dans son lit aux draps rouge. Il s'assis sur les cotés et posa une de ses forte main sur son front. Et la elle se réveilla.

Eonelle était arrivée quelques jours plus tôt dans un temple magnifique et séjournait dans une chambre confortable. Elle ne transportait aucun bagage et était arrivée par dos de dragon, avec un mal de tête épuvantable et ne se souvenant de rien.
Apparemmentt, d’après ce qu’elle avait apprise des habitants de cet endroit, elle était la nouvelle élue d’Yvaine et se trouvait dans son temple. Pff !! Invraisemblable !! Elle, élue ? Elle n’en croyait pas ses oreilles.

Lorsque l’avatar de la déesse des éléments arriva, elle dormait d’un sommeil réparateur.
Elle s’éveilla en sursaut : qui donc la touchait ainsi ? Dans sa surprise, ses cheveux devinrent rouges…

"Qui êtes-vous ? S’écria-t-elle en s’écartant le plus possible du jeune elfe assis à côté d’elle, que me voulez-vous ?"

Aerandir vit la jeune élus s'éloigné loin de lui. Il sourit.

**C'est bien tu est prudente**

Il s'avança vers elle et tendit une main tendre vers elle.

" Je ne te veut aucun mal Eonelle."

Il fit apparaître une chaise après une explosion de flammes et s'assit dvant elle.

" Je suis l'Avatar Divin de la déesse Yvaine, c'est moi qui va s'occuper de ton apprentissage."

Il lui donna un sourire réconfortant et lui pris ses mains, qui comme toujours étaient chaudes.

" De flammes tu est faite"

Il se leva et fit apparaître son bâton, il se dirigea vers la porte.

" Suis moi."

Et il s'engouffra dans les ténèbres des caves du temple.

Eonelle était subjuguée : qui donc était ce magicien aux pouvoirs fantastiques ? Où l’emmenait-elle ? Pourquoi ?

Elle n’arrivait pas à se dire qu’il lui voulait du mal. Elle le suivait tranquillement, curieuse de savoir ce qui arriverait ensuite.
Il l’emmenait dans une espèce de galerie souterraine sombre et simplement éclairée par le bâton de l’elfe (elle avait deviné ses oreilles pointues) qui marchait à grands pas, même qu’elle avait peine à le suivre.

Mais qui donc était-il ? Que voulait dire « avatar divin »? Et de quoi avait-il voulu parler en parlant d’une certaine Yvaine ?
Toutes ses questions restaient sans réponses.

Ils arrivèrent à la fin du corridor…

Eonelle s’avança, telle un robot, à travers la pièce. Elle était immense et semblait vide, pourtant la magicienne n’aperçut aucune trace de poussière ni d’humidité.
Une grande puissance semblait régner en ces lieux et Eonelle se rendit conte qu’elle sentait plus forte, sans pour autant savoir pourquoi.
Elle s’avança dans la pièce sombre et soudain se sentit seule : elle se retourna vivement mais le mage avait subitement disparu derrière l’immense porte devant laquelle elle se trouvait quelques secondes plus tôt. Prise de panique elle tapa dessus de toutes ses forces comme l’on fait quand on se sent enfermé mais sans efforts car plus elle tapait, plus la porte lui semblait dure. Epuisée, elle s’assit contre et reprit sa respiration.
Elle se leva, marcha en face de l’entrée et arrivée au beau milieu de la salle tomba nez à nez avec … une immense statue. Elle sursauta car avait failli se la prendre en pleine tête mais se ressaisit et l’observa attentivement.

[voila c ce que tu voulais a toi maintenant !!]

Et la le flash se fit ! Comme un éclair de couleurs Eonelle entra en contact direct avec l'âme de la déesse qui se trouver qu'elle que mètres devant elle, dans la statue. Yvaine intriguer partager ses sentiments avec Eonelle. Aussi sa voie fit ricocher de la tête même de la jeune élue.

° oO Bonjour mortelle, je suis Yvaine ! La mère des 4 éléments Oo °

Eonelle dut sentir comme le regard glacée de la déesse se posé sur son âme.

° oO Tu ne m'as pas encore accepter comme guide, mais sache que je suis … Oo °

Ce silence morbide fut troubler par un monter d'energie comme le réacteur du avion

° oO LA PUISSANCE Oo °

Un autre flash naquit, plus brutale cette fois ! C'était l'histoire complète de la vie Yvaine que celle-ci allait montrer à Eonelle. Aussi la flash coupa à sa monter au grade divin.

° oO En veut tu plus ? Oo °

Eonelle ne pouvait réfléchir c'était oui ou non.

La jeune magicienne était subjuguée : cette voix semblait venir de nulle part et pourtant semblait sortir de la statue !! Elle hésita à répondre car elle ne savait pas s’il fallait qu’elle pense sa réponse ou qu’elle la dise à haute voix. Après avoir longtemps tergiverser, elle se décida enfin à répondre à haute voix :

"Cela ne me regarde point. Non, je n’en veut pas plus, mais vous accepte comme guide."

La jeune magicienne se surprit elle-même : elle osait répondre de cette manière à un dieu !
Ces mots ne lui semblaient pas être les siens. Brusquement, elle se rendit comte qu’on l’observait de l’intérieur, dans sa tête… la déesse écoutait se qu’elle pensait !! Elle en riait même !! Eonelle rougit soudain et se concentrant tenta de se créer une barrière mentale pour éviter toute intrusion furtive dans son esprit.

Yvaine fouillée dans l’esprit de Eonelle comme on lit un livre ouvert. Elle lisait bien le gène d’Eonelle, parler fort ou dans sa tête. Tous ses élus c’était posé cette question, sans la moindre importance pour un dieu car ils savent tous, mais ces mortels semblent y tenir plus. Enfin la petite magicien parla fort et le son des ses cordes vocale résonna dans la pièce.

Citation :

"Cela ne me regarde point. Non, je n’en veut pas plus, mais vous accepte comme guide."

La jeune fille parue étonné, on ne peu mentir a un dieu et ce n’est pas l’esprit qui parle à un dieu, c’est l’âme elle-même. Oh ! La petite mortelle remarqua qu’Yvaine lisait dans son esprit. Et puis ! Yvaine éclata de rire. Eonelle avait tenté une barrière pour l’empêcher de savoir.

** Cette magicienne est puissante et attentive, bien, bien…**

Elle serait une bonne élue de toutes façons son apprentissage était presque terminer.

" Ecoute moi Eonelle. Si tu me prends comme guide nous ne ferons plus qu’un toi et moi. Et si tu refuses de savoir qu’elle est ma vie et que tu me refuses de savoir qu’elle est la tienne. Il ne pourra pas y avoir le lien de confiance qui doit lier un dieu à son élu. Laisse moi savoir … "

Aerandir avait fait du bon travaille. Il avait ramené une bonne élue, une très bonne élue.

Eonelle, comme secouée par une vérité à laquelle elle aurait put pensait plus tôt se détendit soudain et laissa libre cours à la déesse qui pénétra plus profondément dans son esprit. Elle aurait due se sentir fouillée mais non, elle resta là, n’éprouvant pas le moindre gêne. De toute façon elle n’avait rien à cacher. Soudain des images la submergèrent : la vie d’Yvaine se déroulait devant elle !! Elle appris tout sur sa vie de déesse, des soucis qu’elle avait eue en passant par ses sentiments etc. …, etc. … .

Sans s’en rendre comte elle s’était assise par terre, les mains posées sur les genoux, le regard vidé de toute expression elle écoutait. Elle regardait. Attentive à toute image, tout murmure, elle s’épanouissait. Comme une fleur close qui aurait attendu le moment venu pour s’épanouir. Pour la première fois de sa vie Eonelle se sentit en réelle confiance, sécurité.

Elle aurait aimé que jamais se moment ne termine. Mais toute chose a une fin. Ce moment de bonheur aussi.

Cette petite mortel avait … une vie si courte … mais si remplis qu’Yvaine en fut impressionnée. La déesse avait lu dans l’âme d’Eonelle, Eonelle avait lu dans l’âme de la déesse. Ce moment si agréable fini dans la peine des deux femmes … chaque bonheur à une fin. Yvaine avait maintenant un élu de taille … Sans qu’elle s’en soit rendue compte, les pouvoirs d’Eonelle avaient décuplé. Maintenant la jeune magicienne sut seul qu’elle devait partir…



Aerandir s’était assit en lévitation dans l’espace restreint du corridor. Yvaine lui fit comprendre qu’il avait ramené une très puissante élue… celle-ci serait utile pour le culte. Aussi la porte s’ouvrit sur Eonelle… une autre Eonelle. Aerandir e fut content et sans un bruit, sans une parole, ils partis avec Eonelle pour sa dernière épreuve.
Ils marchèrent pendant quelques minutes dans des couloirs sombres et humides, où la pourriture avait pris de dessus et commencer a gênez le passage. Enfin, avec un soupire de satisfaction par Aerandir, ils arrivèrent devant une porte de chêne. Aerandir murmura à Eonelle …

" Derrière cette porte ce cache ta dernière épreuve, celle du combat. Je sais que tu as déjà combattu des créatures mais celle qui est caché a l’intérieur je ne pense pas que tu en a déjà vu… fait très attention "

La porte s’ouvrit sur une salle sombre au plafond haut et aux formes arrondies et rondes. La salle comme une arène avait en son centre un espace de sable cerné d’une rivière toujours en mouvement qui se jeté vers des trous bloqué de grillages. Plongé dans la pénombre Eonelle n’avait pas envie d’y entrer, comme tout les élue se dit Aerandir, mais la jeune sorcière se fit pousser par Aerandir qui ferma la porte derrière elle. Elle fut donc résigner a se diriger vers le pond de bois. On ne voyait pas le bout de ses pieds depuis qu’Aerandir avait refermé la porte… le silence était si étouffant … Tout pour un combat déloyal…

Eonelle était écoeurée : un si court moment de bonheur pour ça !!

Elle avanca tout de même dans la pénombre, le coeur battant et la migraine persistante.

Elle ne voulait pas allumer un feu (ce qu'elle aurait fait sans aucune difficultés) pour ne pas que la créature ne détecte sa présence avant qu'elle n'est pue l'analyser.
Ses yeux ne lui servant donc à rien elle les ferma pour mieux se concentrer sur ses seuls sens (autant économiser de l'énérgie le plus possible...): elle écouta mais n'entendis rien, elle tatonna mais ne buta que les murs, sentis mais ne découvris rien d'odorant, et ...il ne lui restait que la parole. Elle rechercha à regret (elle était contrainte à lacher son énergie) dans sa mémoire "la" formule que tous les magiciens connaissent et qui permet de détécter la présence d'un ennemi et d'en connaitre le nombre et la race. Après avoir fouillé longuement dans sa mémoire elle la retrouva enfin et la prononça avec soin. Une force nouvelle jaillit d'elle : elle avait l'impression de n'avoir pas dépensé d'énergie !! C'est alors que l'image de la bête lui vint à l'esprit...

La vision ce fit … Cette créature était de loin blanche. Deux points noirs lui faisait office d’oeil et un pelage aux nombreuses plumes luisait sur ses formes. Il avait un petit bec et deux pâtes railler, ses ailes étaient si petites que … mais c’est une poule ! Eonelle avait craint une chose Inutile ! Mais soudains deux oeil luisants jaunes se firent voir derrière le coq, suivit deux gueule fine mais … garnis de … dents. Sa bouche remplie de bave s’avança du coq. Mais dans un silence si pesant que même Eonelle ne sentit rien ! La bave coula de la bouche du monstre et fit fondre le sol ; de l’acide ! Aussi deux immenses griffes courbées, cinq à six fois plus grande que le coq s’avancèrent au dessus du coq et dans un bruit d’hachoir le volatile rendit l’âme. Eonelle le sentit vers le sud-ouest de son emplacement. Cette créature se déplacer vite, et aussi bientôt elle n’entendit plus rien. Pendant bien dix minutes il n’y eu aucune bruit, puis tombant du plafond, a moins de deux mètre d’elle, la carcasse du coq : vide. Bientôt elle fut pris de panique en entendit régulièrement des bruits … de déplacement rapide. Un sifflement se fit entendre. De plus en plus proche. Quand soudain une vive douleur a l’épaule gauche lui rappela à l’autre. En regardant à cet endroit elle vit que son vêtement avait fondu et que son épaule était brûlé par un liquide baveux. Le sifflement était au dessus d’elle. En levant la tête, la vision d’horreur se forma. Le monstre était au dessus d’elle et le deux immense griffes filaient sur elle …


[Oui j’ai vu alien ^^]

Eonelle prit peur : elle avait mal et ne connaissait rien pour se soigner !! Elle devrait à tout prix tuer la bête pour rester en vie, et elle n’avait aucune intention de mourir.
Elle se remémora donc tout (ou à peu près tout) ce qu’elle avait appris et se mit en chasse de(s) sort(s) propices à la destruction. Mais elle n’en eu pas le temps. Une lancinante douleur la sortit de sa torpeur. Elle sentait à présent une forte odeur de chaire grillée, brûlée, écorchée vive…
Elle devait impérativement agir. Elle n’avait maintenant plus droit à l’erreur. Elle écouta de nouveau dans le silence de la salle. Sa vision avait maintenant complètement disparue. Elle entendit un bruit de bave qui dégouline juste en face d’elle : la bête la regardait !! Elle prit son courage à deux mains et visualisa la salle dans sa tête, le monstre et elle-même. C’est alors qu’elle jeta le sort qu’elle utilisait le moins mais qui lui permettait de lancer une boule de feu sans ouvrir les yeux, dans le noir le plus complet. Elle tendit les mains devant elle, se concentra un maximum et psalmodia en chuchotant une formule semblant venir de loin.
Un jet de flammes semblant sortir de nulle part jaillit et fonça droit sur l’emplacement visualisé dans la tête de la magicienne à une vitesse incroyable. Puis une deuxième vague légèrement plus à droite et ce jusqu’à ce que Eonelle ait construit un cercle de flammes de 2 mètres de diamètre.
Epuisée, elle s’assit et contempla le brasier qu’elle venait de former, formant par la même occasion un bouclier magique. Elle se fichait maintenant que le monstre soit mort ou pas, tout ce qu’elle voulait c’était qu’on la laisse dormir malgré son incessante douleur au bras. Elle se savait en sûreté mais pas pour longtemps. Il lui fallait juste un peu de temps pour recouvrir toute son énergie.
Elle s’évanouit alors et, sans qu’elle s’en rende compte, elle chuchota juste avant de s’endormir :
« Deislash, daisled maz, Deislash, daisled maz, Deislash, daisled maz… »


[Ce qui signifie : Deislash (c’est le nom de son dragon), protège-moi, Deislash, protège-moi, Deislash, protège-moi…]